La 6e édition des " Rencontres Buissonnières" commence fort ! Francis Cabrel en est l'invité d'honneur.
Le soleil a réchauffé ce lundi 15 mars. Le ciel bleu fait un croche pied à l'hiver !
18 heures. La salle de cinéma LUX du Buisson de Cadouin projette le film documentaire " des roses et des orties" . Le théme est, bien sûr, l'élaboration du dernier disque du chanteur. Patrick
Savey; le réalisateur, a réussi à entrer dans l'intimité de Francis Cabrel. Emotion, tendresse, générosité, simplicité....
A la fin de la projection , les 200 personnes présentes applaudissent . Francis Cabrel monte sur la scène. Les applaussements redoublent !
Francis Cabrel répond aux questions avec beaucoup d'humour. Georges Pernoud ( THALASSA), assis parmi nous, demande au réalisateur , comment il a réussi à capturer ces moments rares, ces
confidences.
Un monsieur assis à ma droite demande si quelques chansons en occitan sont prévues... c'est
Thierry Bourgeon ( France inter), ...Périgourdin ! Peut-être un jour répond Francis. !
Un marché gourmand nous permet d'attendre la séance de 21 heures où sera projeté le film ' la cour de création" sur les rencontres d'Astaffort". La file d'attente au stand du magret de canard
grillé est longue comme un jour sans faim ( !) ....
Nous nous contentons d'un dessert ...
Nous retournons à la salle. Nous avions bien fait de réserver car la salle est complète ; les gens devront attendre la séance de 22 heures ( environ !)
Le film retrace une session des rencontres d'Astaffort. Maxime Leforestier, Emilie Loizeau aident les artistes...Francis Cabrel conseille. des essais d'accords, des excès de rimes ...Nous
restons un peu sur notre faim. Des images du concert de clôture auraient été bienvenues....
Francis Cabrel remonte sur la scène du cinéma.,reprend le micro. Il parle, repond aux questions, sourit. Il cite Brassens. Nous sommes un peu comme à la maison. A la demande générale il
entonne " Je l'aime à mourir .."" comme ça, juste pour nous, la salle reprend en choeur. la vidéo est là
Avant de quitter la salle, il signe quelques autographes. Dehors, les gens